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03 avril 2024
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Fin mars, l'Axamer Lizum a accueilli pour la première fois le championnat international de ski allemand. Le week-end de course a permis de montrer sous toutes ses facettes ce que signifie la célébration d'un sport de plein air comme le ski alpin.

En matière d'activités sportives hivernales, les préférences sont notoirement divergentes. Les uns se sentent à l'aise avec une planche, les autres avec deux planches aux pieds. Certains aiment dévaler les pistes, tandis que d'autres tracent des lignes dans la poudreuse ou combinent acrobaties et témérité dans un funpark. Réunir tous ces groupes sous un même toit - ou plutôt sur un même téléski - est l'une des grandes qualités de l'Axamer Lizum. Le domaine skiable à portée de vue d'Innsbruck n'est pas seulement une adresse appréciée des sportifs de loisirs, il s'est également établi comme lieu de compétition professionnelle depuis les Jeux olympiques d'hiver. Il n'est donc pas étonnant que le Ski-Club Starnberg ait choisi cette année la Lizum pour organiser les championnats internationaux de ski alpin allemands.

Un programme chargé

Du vendredi 22 mars au dimanche 24 mars, trois compétitions axées sur la technique étaient prévues pour les femmes et les hommes de l'élite du ski allemand : le German Team Trophy, le slalom et le slalom géant. Le grand avantage pour les personnes intéressées était que le site était librement accessible, ce qui permettait de vivre le sport de haut niveau de près. Dans la zone d'arrivée, un DJ et une animation ont apporté un divertissement supplémentaire.

Le vendredi, la compétition par équipe a débuté avec les équipes des associations de ski de la fédération allemande de ski qui se sont affrontées au coude à coude sur la pente. Au final, l'équipe de la fédération de ski de Souabe s'est imposée devant la fédération de ski de l'Oberland et la fédération de ski de Munich.

Même pour les grands de la scène comme Lena Dürr, la compétition par équipe représente un changement bienvenu par rapport aux formats habituels : "Les championnats allemands en fin de saison sont toujours très amusants. L'événement par équipe du vendredi, en particulier, a de nouveau été le point fort absolu. Surtout parce que nous ne pratiquons actuellement plus de format parallèle en Coupe du monde et que c'est à chaque fois un honneur pour moi de concourir pour mon propre Gau dans l'équipe de Munich"

Un engagement total

Le samedi, les épreuves de slalom dames et hommes se sont poursuivies sur la piste de descente dames. Un point de repère pour ceux qui connaissent déjà la Lizum par expérience personnelle : Celui qui emprunte le nouveau téléphérique Hoadlbahn jusqu'au point culminant de la Lizum et qui a de nouveau détaché ses yeux du panorama, tourne à gauche pour arriver à la descente dames. Le nom n'est pas dû au hasard, puisque c'est ici qu'ont eu lieu les compétitions des Jeux olympiques d'hiver de 1964 et 1976.

Le slalom est une discipline dans laquelle il faut trouver un équilibre subtil entre des changements de direction rapides et la plus grande vitesse possible. Une vitesse plus élevée est automatiquement liée au risque de rater une porte et d'être éliminé de la course. L'athlète de haut niveau Linus Straßer a démontré qu'il peut y avoir d'autres embûches que les enchevêtrements, et il l'a pris avec humour : "Au début de ma deuxième course, j'ai intégré un petit cirque involontaire. Au départ, j'ai failli faire un tonneau, car j'ai glissé avec mes bâtons et je suis resté accroché au sol avec mon ski droit. Par la suite, j'ai su que je devais passer à l'attaque. C'est ainsi que j'ai finalement pu décrocher mon sixième titre national en slalom, à la fin d'une saison de Coupe du monde réussie et cool. Un grand merci au ski-club de Starnberg et à ses nombreux bénévoles pour l'organisation de nos championnats nationaux en fin de saison"

Straßer s'est imposé malgré des complications, tandis que Simon Rueland et Tijan Marvot ont mérité les deuxième et troisième places.

Un rythme soutenu

Chez les femmes, la victoire a souri à la jeune talent Charlotte Grandinger, à son grand étonnement : "Pour moi, les championnats d'Allemagne ont été une fin de saison très réussie et très belle. Après ma deuxième place aux Jeux Olympiques de la Jeunesse, c'était une expérience formidable d'être au départ avec des athlètes de haut niveau comme Lena Dürr et Emma Aicher. Le titre de championne d'Allemagne m'a donc plutôt surprise. Je m'en réjouis d'autant plus !" Leonie Bartholomeus a pris la deuxième place, Andrea Filser la troisième.

La favorite Lena Dürr a été éliminée de la course après que la barre de porte se soit coincée entre ses skis : "J'ai malheureusement eu un problème d'enfilage lors du slalom du samedi, et le slalom géant du dimanche a dû être annulé en raison des conditions météorologiques. Maintenant, je me réjouis d'abord de passer quelques jours de repos à la maison"

Tout plein de neige

Comme Dürr l'avait déjà laissé entendre, le changement de temps de dimanche a montré ce que signifie organiser des compétitions de ski alpin dans un véritable sport de plein air. La technique, les carres aiguisées et le fart sur les skis ne peuvent pas faire grand-chose lorsque la nature a d'autres plans. Les chutes de neige massives de fin mars étaient en principe un spectacle bienvenu, mais elles ont été un obstacle à l'organisation d'une compétition. Le slalom géant a été annulé et aura lieu début avril à Pfelders. Ce qui reste : des compétitions dans deux disciplines et une première anticipation de la pause estivale bien méritée.

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